Ceux qui sont venus avant toi,
en un mot, il faut que tu leur dises :
« Votre mort n’était pas en vain,
et je vous pardonne, vos bêtises ».
Ne serait-ce que pour un instant chétif et sans obsèques,
dont tu ne pourras même paslire à ta librairie, ou bibliothèque ;
ceux que tu remercies, ainsi de leur jadis présence,
pourront jouir désormais, d’une plus belle éloquence.
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